Le Donjon de Maître JLna

Pour « raconter » notre soirée avec malizia… de manière plus succincte cependant, ceux et celles qui me connaissent me savent moins bavarde que Maitre JLna !

Oui durant la vente, mon choix (approuvé par Maitre JLna) s’est rapidement porté sur malizia car  j’avais apprécié son côté taquin lors d’une soirée précédente et surtout j’ai aimé son regard très expressif… rien de pire pour moi qu’une soumise avec un regard qui ne laisse rien transparaitre de ses émotions.

Les premières paroles de notre « esclave » furent pour nous remercier et nous faire savoir combien elle était soulagée que nous ayons remporté l’enchère… Mais bien vite nous lui avons fait comprendre qu’elle ne devrait peut-être pas se réjouir autant… et dans ses yeux l’inquiétude de l’inconnu a vite remplacé le soulagement…

J’aime ces moments ou la soumise se demande ce qui va bien pouvoir lui arriver, cela l’amène dans un état de doute plus propice à libérer ses émotions.

Nous avons vite compris que l’état d’esprit de malizia était d’arriver à se dépasser au maximum afin de faire regretter à son Maitre de l’avoir mise en vente… voilà qui nous promettait un bon moment en perspective…

Durant toute la première partie qu’a déjà décrite Maitre JLna, la complicité et la confiance se sont installées peu à peu entre elle et nous et cela nous a permis de mieux percevoir sa résistance (bien supérieure à ce qu’elle nous avait annoncé au départ) et de décider donc de passer au fouet…

Ah le fouet… objet de tant de peurs… de tant de fantasmes… et de tant de plaisirs, j’avoue avoir une prédilection pour cet instrument, tant en tant que soumise que de Domina d’ailleurs car oui j’ai l’avantage de connaitre les deux côtés du manche.

Je me souviens du passage de gégé qui comme à son habitude se promène dans les salles pour vérifier que tout va bien pour tout le monde, de son regard bienveillant sur mon fouet… et de son murmure à l’oreille de malizia … « lâches-toi, laisse venir le plaisir »…
Et c’est ainsi que j’ai commencé à jouer sur les fesses de malizia de manière régulière avec mon fouet, sans trop de force (je laisse cela à Maitre JLna) mais avec une régularité de métronome qui permet de rentrer dans un autre monde petit à petit…

 
Et c’est ainsi que peu à peu malizia apprécia le fouet, la « semi » douceur de mes coups étant entrecoupée par les touches plus cinglantes de Maitre JLna…

Quel beau spectacle de voir ainsi malizia, si résistante, si belle, les fesses et le dos ainsi rougis… et son regard empli de sa propre surprise devant le plaisir qu’elle pouvait prendre à cela !

 
Il était cependant temps de rendre à son Maitre  notre « esclave » temporaire, et nous n’avons pu que lui faire des éloges de celle avec qui nous avions partagé un si bon moment de complicité, de rires et de BDSM.

La confiance s’est tellement bien installée qu’à la demande de malizia et avec l’accord de son Maitre, tous les quatre avons prévu de nous revoir…