Le Donjon de Maître JLna

Cela se finit par une rencontre !!!

Mais cette fois ci contrairement aux précédentes rencontres de ce début de 2014, la soumise habite loin, donc bien moins facile à organiser qu’une simple soirée. Contrairement à la dernière fois, Skype sera utilisé. Au passage,  comme Je regrette ma version « Windows live 2009 » mais bon…

Nous sommes donc au tout début du mois de février et avons l’habitude de fréquenter certains tchats, un peu plus que les autres. Une nouvelle soumise vient d’arriver, elle a l’air sympa et comme vu en cam, un joli visage de surcroit. Ce jour-là, ni Natacha, ni Moi ne travaillons apparemment elle non plus.

Les dialogues ainsi que l’humour passent bien entre N/nous trois à tel point que l’O/on finit par se retrouver sur Skype pour être tranquille. On en apprend un peu plus sur sa recherche puisque elle n’est plus avec Son Dom, mais surtout qu’elle a toujours eu peur des Domina… là, gros rire car en même temps, elle a envie de connaître Natacha. Au fur et à mesure des conversations des jours suivants, O/on se trouve des affinités communes. Après les Dominas, sa plus grande peur est le fouet qu’elle n’a jamais eu. Une fois de plus cela Nous fait rire puisque finalement ses deux limites absolues, c’est Nous !!!

Sa curiosité la perdra… rire. Tous les jours Nous discutons avec elle que cela soit Natacha ou Moi.

Ayant la possibilité de la recevoir fin février pendant trois jours, elle accepte cette invitation. Entretemps Nous lui proposons de lui donner un collier en probation. En effet, n’ayant plus de travail sur sa région, elle pourrait la quitter facilement si elle en trouvait ici. Pendant ces trois jours cela va permettre de voir si ce que l’O/on ressentait en virtuel, pouvait l’être dans le réel. En effet, bien souvent les dialogues sur un tchat, sur Skype ou en cam, c’est une chose, mais le réel en est une autre. Au fur et à mesure que la date fatidique arrivait la pression montait de son côté et en même temps, elle avait un rendez-vous pour du travail.

Le grand jour arrive. Une fois sortie de sa voiture, Nous la trouvons toute tremblante d’émotion. On lui propose un café et discutons un peu. Mais ayant eu chaud pendant le voyage, en effet ce 23 février, il ne fait pas moins que 18 degrés avec un super soleil. Ni une, ni deux,  Je lui propose de se mettre nue et lui donner un rafraîchissement, ce qu’elle accepte malheureusement pour elle... sourire.

Après s’être entièrement dévêtue, Je la fis sortir dehors et là « le rafraichissement » l’attendait, elle vira au rouge et pensa que Je plaisantais…

Ambiance, ambiance !!! Avec cette « douche », elle était rentrée de plein pied dans sa soumission dès les premières minutes.  On la sécha sommairement et On l’a fit revenir dans le salon. Là, Je lui annonçai que Natacha allait s’occuper d’elle en premier, histoire de chasser son vieux démon de la peur de la Domina.

Après « la douche froide » c’était la « douche chaude » psychologiquement parlant…

Natacha commença par la cravache, elle avait rêvé de l’avoir depuis qu’elle l’avait vu sur la photo de profil de Notre Skype. Au-delà de sa peur de la Domina, ambre, puisque c’est ainsi que l’on a choisi de l’appeler, réussit à prendre du plaisir, malgré que donné par Natacha. Définitivement elle avait intégré dans sa tête qu’elle aurait aussi une Dominante en guise de Maître.

Au bout d’un moment, Je remplaçai Natacha. N’étant pas maso... qu’elle Nous avait dit, je trouvais quand même de jolies traces bien rouges de cravache. Donc je décidai de  commencer par la caresser un tout petit peu et là, oh surprise, ambre était trempée…  à la texture, rien avoir avec le traitement qu’elle avait eu dehors. Je lui fis remarqué qu’au final,  ce qu’elle avait eu depuis son arrivée, elle aimé réellement avoir honte et que Sa Maîtresse lui faisait vraiment beaucoup d’effet. À ces mots, elle piqua un fard et en a bafouillé de l’avouer.

Après cet aspect cérébral, je commençai très gentiment par une petite fessée agrémentée de quelques caresses.  Une chose était sure, Notre ressentis à Natacha et Moi, On ne s’était pas trompé, le potentiel était là, juste à faire grandir. Je décidai d’aller plus loin dans son masochisme naissant, Je dis naissant car elle avait trouvé qu’elle n’avait jamais eu aussi fort de tout cela. Je passai à la vitesse supérieure. Un de ses points faibles est une ultra sensibilité de ses mamelles. Comme je dis toujours, il faut guérir le mal par le mal !!! Certainement Mon côté sadique qui veut cette devise… sourire.

Les claques sur les mamelles commencèrent à tomber, pas fortes au départ, en alternance avec les tétons pincés qui se raffermissaient au fil du temps. J’introduis un malaxage dans le jeu et une fois de plus, après vérification, alors qu’elle s’était séchée entretemps, elle coulait de nouveau. J’en profitais pour accentuer, avec plus de force sur ces mamelles et tétons.

Il était temps de la faire redescendre et de lui donner un repos mérité. L’occasion de faire un premier débriefing.