Le Donjon de Maître JLna

Après M’être occupé de sandy debout avec Ma cravache sur ses fesses, mamelles et chatte, pendant une bonne partie de la matinée, Je fis le débriefing. Après cela, Je décidais qu’un peu de repos (sadiquement parlant bien sûr) lui ferait du bien.

En ce début d’après-midi,  Je dépliais donc le canapé en version lit et la fit mettre sur ses genoux. C’était un bonheur de lui caresser sa chatte trempée qui s’ouvrait « mécaniquement ». Comme elle m’avait donné déjà beaucoup de plaisir, Je la récompensais en lui mettant un God (realistic) de 8 pouces…

Je l’a fit aller et venir aux grés des caresses sur son clito en marquant des pauses… ah frustration quand tu nous tiens… malgré tout une jouissance fulgurante arriva !!!

Le plaisir était tellement là qu’il fallait que J’augmente la douleur pour rééquilibrer le tout, ayant pour but toujours de la faire jouir plus… n’étant pas dans une phase punition.

J’installais sur ces mamelles des sangles pour les lui comprimer au maximum. Cela l’excita et de beaux petits tétons commencèrent à s’ériger.  Du coup, J’allais chercher Mes aspire-tétons histoire de les démultiplier et par la même occasion son plaisir.

Elle n’était plus que jouissance, une fois de plus. Je rajoutais au aspire-tétons une pince ou j’accrochais des poids. D’abord 50 grammes, puis 20 de plus et encore 30 grammes de plus, au total 100 grammes. 

Je reprenais Ma cravache et cadençais  son empalement sur le God,  Ma cravache tantôt sur ces mamelles, tantôt sur ces fesses. Le but était de faire bouger ses mamelles au maximum et que les aspire-tétons fassent leurs effets.

À ce moment-là, elle jouissait en continu malgré que la cravache claque de plus en plus fort. Elle ressentait le rythme en quelque sorte et à chaque empalement, c’était une jouissance !!!

Je rajoutais une fois de plus du poids et directement 100 grammes !!!
Après Je ne sais combien de temps, elle se renversa sur le côté, vidée, les yeux révulsées… Je lui enlevai le God, les aspires-tétons avec les poids et Je détachais les sangles qui comprimaient encore ses mamelles,  celles-ci avaient commencé à bleuir légèrement.

Je l’ai couchée délicatement sur le lit et lui fit un câlin en la serrant dans Mes bras et en lui parlant doucement.  Elle reprenait peu à peu ses esprits, puis d’un coup, elle est devenue toute rougissante de honte d’avoir jouie comme cela et autant. Je plongeais Mon regard dans le sien et elle eut de nouveaux des spasmes. Elle s’était abandonnée comme jamais de sa vie Me dit-elle plus tard lors du débriefing.

Elle rajouta que jamais non plus elle n'avait eu des jouissances multiples comme cela et Me dit :
 « Mais ce n’est pas normal, que m’arrive-t-il ? Ce n’est pas possible, ce n’est pas moi ça ».

En regardant la serviette entièrement trempée à la fois de jouissance blanche et de mouille.

Je lui répondis qu’il était seulement 14h00 et qu’elle ne devait partir qu’à 16h00 !!!  Rire, et qu’ elle mouillerait encore une autre serviette d’ici là…

N/nous sommes restés dans les bras l’un de l’autre et J’observais son visage rayonnant de bonheur et de fatigue malgré tout.

Allez une vraie pause cette fois-ci, pour sandy.

Il y a des mots que je pensais ne jamais utiliser
Il y a des maux que je pensais ne jamais sublimer

Des objets étranges et effrayants
Qui par le plaisir torturant
Et tous mes sens excitant
Me portent au firmament.

Juste un regard de Vous suffit
Je courbe l’échine, je plie,
Offrant ma croupe à Vos envies,
Vos désirs et Vos folies !

Tel un objet que l’on va modeler,
Mon corps d’argile, sans s’émietter,
Suit la courbe de Vos fessées.
Folle sensation d’exister…

Parfois toute tremblante,
J’attends, haletante,
Votre main sonore ou caressante,
Votre bouche douce ou mordante.

De cuir ou de bois,
Quand le paddle s’abat sur moi
Comme un oiseau sournois,
Mon corps se crispe d’effroi.

Plus question de jouer les bravaches
Sous les touches de cravache,
Les cris qu’elle m’arrache !
Rosi, Rougi mon cul se tache…

Puis le sifflement de la badine,
Mordante comme une canine,
Des traits qu’elle dessine
Mon corps se patine.

En rythme sensuel,
La canne martèle mes mamelles,
Pétries de douleur cruelle,
Submergées de plaisir irrationnel.

Du martinet sentant les lanières
Tomber devant…  derrière…
Déversées telle une rivière,
Excitations multiples et solidaires.

Les oreilles aux aguets,
Espérant le chant du fouet…
Marquée de sa saignée
Ou juste effleurée.

Force et douceur en alternance,
Vous marquez mon allégeance,
Et mon corps comme en transe
Renait dans un flot de jouissance.

Quelquefois pour apparaître dans un lieu ou une photo, on a besoin d’une certaine discrétion, voici ce qu’il faut pour ne pas être reconnu.

Un masque chat en cuir clouté, pour homme ou femme.

La référence est  100092 et son prix est à 18,00€.