Le Donjon de Maître JLna

Sur un site que l’On fréquente, il était prévu depuis le mois d’aout un repas le soir pour faire connaissance en réel des gens avec qui l’On parle et qui sont de Notre région. Bon ce soir-là, il y avait bien « un parisien » qui s’était « incrusté »  mais bon comme il était très sympa, personne n’a rien dit… rire.

On a eu de la chance car la personne qui avait organisé cette rencontre, avait choisi un restaurant déjà pas trop cher et bon, mais aussi avec un avantage certain, une grande salle ou aucun « vanille » n’était présent… hormis les serveurs, mais qui ont su se rendre discrets et en même temps compréhensifs. Un peu plus de la moitié des gens présents étaient en « dress code ».

Dix-sept personnes installées dans une table en U permirent des échanges malgré tout. Le repas a été agrémenté de 2 punitions sur 2 soumises par Leurs Doms respectifs. Je ne connais pas la raison de la première punition, sauf que celle-ci, a commencé par une belle fessée, la soumise ayant été couchée sur la table à la vue de tout le monde et s’en suivirent 6 coups de martinet à double lanières appelé aussi martinet langue de vipère ou encore martinet mexicain selon les gens (le plus simple est de voir la photo référence 100119 ou 100211 dans "Objet S.M."). La deuxième punition sur la deuxième soumise était moins sévère mais dura plus longtemps. En effet une soumise gourmande qui chipe des morceaux dans l’assiette de Son Dom pendant que celui-ci est en train de discuter avec Moi… ça ne se fait pas. Donc mon voisin s’est levé et a saisi dans son matériel, une corde et a fait un mini bondage pour que Sa soumise puisse manger uniquement dans son assiette… elle a fini son repas comme cela !!!

Lors de Notre sortie au Marquis83 du 18 octobre, J’avais rencontré un Dom que je connaissais des tchats que Je fréquente depuis des années mais que Je n’avais jamais rencontré en réel. Après une longue conversation avec Lui, il Nous présenta des amis à Lui qui possèdent une villa avec un aménagement donjon en sous-sol où il a l’habitude d’aller. C’est à cet endroit qu'avait été prévu « l’after ». Étant loin de Notre maison pour rentrer et ayant le weekend de libre, il était prévu que l’On couche sur place. Je tiens ici, sans le nommer par souci de discrétion, Il se reconnaitra, à remercier Notre hôte de son accueil très chaleureux.

La totalité des convives du repas alla à l’after. Sachant que c’était l’anniversaire de l’organisatrice du repas, Natacha avait fait la surprise de lui faire un « concorde » (gâteau au chocolat, son parfum préféré) mais en version B.D.S.M. Une première dans ce genre pour Natacha…

Tout au long de la fin de la soirée et de la totalité de la nuit, Nous avons eu droit à un service parfait d’un soumis digne d’un palace (aux épaules faisant plutôt penser au film « les tontons flingueurs ») qui se mettait en quatre pour tous nous servir. Il suffisait de faire sonner les clochettes posées en différents endroits du salon, de la terrasse ou encore du donjon pour qu’il accourre.

Il régna dans cette nuit un respect de tous et une ambiance tel que personne n’a vu passer l’heure… les premiers départ on eut lieu à presque 5 heures du matin… Eclairé par des chandeliers de partout, le donjon, digne si ce n’est plus d’une boite B.D.S.M., est constitué de plusieurs petites pièces qui permettaient de s’isoler un petit peu et surtout d’une grande salle où figuraient, en bas des escaliers et en faisant le tour circulaire de la pièce, une chaise à bondage et miroir, une croix de Saint André, un magnifique pilori, cage au sol puis choses très rare, une table d’écartèlement, encore croix de Saint André mais celle-ci fixée sur une roue qui permettait de mettre la soumise ou le soumis dans la position que l’on désirait et pour finir une table à étrier de fabrication maison . Au milieu de cette pièce, sur les poutres bétons, étaient fixés des tas d’anneaux et de chaines. Cela permettait de suspendre soumises et soumis pour des bondage ou encore des carcans en acier massif, un treuil était aussi à disposition.

Dans les autres pièces, on trouvait, un table à fessée, une table à massage et une énorme armoire ou l’on pouvait récupérer, menottes, chaines, mousquetons etc.  Dans une autre pièce, une salle blanche entièrement équipée de tables de gynéco et autres instruments. Encore dans une autre pièce, une prison assez grande pour 6 personnes, de nouveau une croix de Saint André et enfin une salle de classe avec ses bancs et pupitres avec son tableau vert… et suffisamment de cannes en osier pour que les soumis et soumises soit « très sages » ou ayant bien appris leurs leçons. Le propriétaire des lieux m’a dit qu’une autre salle devrait être aménagée par la suite…

Maintenant on peut comprendre pourquoi Nous sommes allés Nous coucher à 7 heures du matin quand le soleil éclairait déjà la campagne…

La conclusion sera, un grand merci à tous les participants, organisatrice et Organisateurs. À très bientôt pour la prochaine soirée.

La bougie partiellement enlevée à la cravache, il était temps de s’occuper seulement de sa chatte, qui était autant gonflée de désir que trempée…

Je commençai par lui caresser son pubis, l’effleurer plus précisément, ce qui déclenchait chez elle une sorte de vibration comme si elle était atteinte d’un petit choc électrique. Ma caresse se fit plus appuyée et là, changement d’attitude, cela devenait comme une danse érotique, son bassin ondulait comme si celui-ci voulait aider sa chatte à attraper Ma main…

 Quand Je présentai Mon index sur son clito, Je jouais avec en tournant délicatement autour. Puis Je remontai son capuchon et un long râle s’en suivit. Là d’un coup sec, une fois de plus, son bassin me fit glisser du clito. Mon doigt glissa dans cet abime où perlaient déjà ces multiples jouissances passées et présentes.Un deuxième doigt ne fut pas de trop pour aider le premier surtout que « la danse » reprenait de plus belle. Plongeant Mes autres doigts avec une facilité indécente, cette fois ci ce fut tout son corps qui ondulait… elle ne s’arrêtait plus de jouir !!!

En tant que sandy, Ma soumise.

Après avoir fait une pause d’une demi-heure, Je remis des sangles sur ces mamelles en les serrant bien fort pour bien les faire bleuir. Après avoir massé énergiquement celles-ci, J’installai de nouveau les aspire tétons. En effet ce sont des objets que J’aime bien utiliser, surtout quand les mamelles sont bien enserrées, cela développe des sensations à fleur de peau.

Je fis coucher sandy sur le canapé, équipée comme cela. Cela permettait de voir une belle image de ces mamelles redressées comme des iles volcaniques sur la mer.

Volcan… chaleur, fusion… donc lave qui coule sur les flancs et Mon imagination fait le reste. Vite une bougie. Je l’allume et commence à la faire couler sur son mont de vénus en partant de très haut et Je commence une descente graduelle. J’ai les yeux fixés sur son visage pour connaître à quel moment la cire deviendra insupportable. En effet, c’est une première fois pour elle…  

30 centimètres, elle se contorsionne et émet un son de douleur, Je remonte à 40 centimètres Cela lui déclenche des jouissances par saccades. Tantôt, elle est sous la douleur pure ou passe de l’autre côté, dans le plaisir. Je peux le voir en observant à la fois son visage et sa chatte au fur et à mesure que je la recouvre. Pour le visage, cela reste facile mais le plus extraordinaire sont ses grandes lèvres qui se gonflent et pourtant pas de pumping. Le temps passe et la totalité de son pubis ainsi que ses grandes lèvres sont recouverts. Une fois fini, J’apprécie « cette œuvre » au point d’en oublier de l’immortaliser puisque éphémère et du coup, Je vais chercher ma cravache préférée et Je commence à enlever la cire.

La suite…  vous attendrez mon prochain article, sourire.