Il a fallu attendre Mon divorce et se refaire un carnet d'adresse. Donc un jour, J’ai pu
atterrir à une soirée d'anniversaire d'un frère d'un collègue.
Cela se passait dans une belle propriété avec un grand jardin et c'était là où l'on dansait.
Là il y avait une belle Femme dans une belle robe rouge sexy de partout et qui M'a invité à danser un slow. Très vite, Je fus gêné car c'était la seule qui avait une telle tenue et surtout qui se
collait à Moi sans aucune retenue, sans parler qu'elle a mis sa main contre Mon pantalon !!!
Etant à jeun, forcément le résultat ne s'est pas fait attendre.
A la fin du slow, Je Me décollais et elle Me proposa de boire un verre et d'aller... discuter
avec la personne assise en face de N/nous qui voulait faire Ma connaissance !!!
Mon étonnement était grand !!! elle avait environ 35 ans et Lui presque 60 ans. Elle
M'accompagna jusqu'à Lui et partit chercher les boissons.
Il M’a proposé de s’asseoir à côté de Lui, ce que J’ai fait. Je ne brillais pas trop car cela
Me gênait qu’elle eût balancé sa main sur Mon sexe et Je ne sais s’il avait vu cela. La surprise est venue directe…
- « Ma femme vous plait ? »
- « Heuuuu oui mais… » à ce moment-là, J’ai
pensé à des échangistes…
- « Si elle vous plait elle est à vous
jusqu’au lever du jour, chez nous. Pas de mais, car c’est moi qui dis mais… le mais c’est que je serais là pour surveiller, car vous pourrez faire l’amour mais pas seulement. »
- « J’aimerai savoir ce qu’est le pas
seulement… »
- « C’est son anniversaire aujourd’hui et
encore pour 2 heures, vous êtes son cadeau, mais passé l’heure, elle n’est juste que ma propriété et j’en fais ce que j’en veux comme les 360 jours par an, ça vous intéresse ? »
A cette époque Je venais de divorcer et Je n’ai pas honte de dire que « mort de faim »… Donc
après avoir épuisé le carnet d’adresse et aller dans les boites échangistes, on m’offrait un cadeau, car elle était superbe dans les 1m60, des fesses super rebondies, une belle paire dont les
tétons s’étaient incrustés dans mon torse lors du slow, blonde, les yeux bleus… Bref un (trop) beau cadeau ?
Je me suis fié à Mon instinct, Je ne sais pourquoi il m’inspirait confiance et j’ai dit oui.
C’est à ce moment-là qu’elle est revenue avec les 3 verres. Je vais pour me lever en prenant appui sur l’accoudoir du fauteuil de jardin, quand il pose la main sur la mienne en me disant :
- « Ne bougez pas, ce n’est pas à vous à le
faire »
Et là elle tend le verre, ainsi qu’à son mari et va se mettre de son côté en se mettant à
genoux !!! Je suis super gêné car mes parents m’ont donné une éducation et là… heuuuuuu !!!
Le verre finit il se lève et en lui tendant le verre, il dit simplement… ton cadeau est
d’accord, elle se lève à son tour et prend mon verre.
On dit aurevoir à tout le monde et devant les voitures, il me dit de le suivre…
Pendant tout le trajet qui va durer près de 30 mn, Je me pose la question quand même si c’est
une bonne idée, étant plus prudent que cela d’habitude, mais la curiosité étant forte et étant troublé aussi bien par son manège à lui et l’excitation qu’elle m’a procurée… dommage que les
téléphones portables n’existent pas encore à cette époque !!!
On arrive sur la petite corniche et là le clignotant de sa (belle) voiture s’allume. Déjà
rien que le prix de la voiture, Je Me suis dit, on ne joue pas dans la même cour !!! Mais quand le portail s’ouvre, on voit une belle villa tout en pierre et un terrain très pentu s’enfonçant en
direction de la mer…
On se gare devant la maison alors que la route descend le long de la maison. Elle sort pour
lui ouvrir la porte, tête penchée !!! pourtant on n’est pas au Japon pour avoir cette position. Je suis de plus en plus intrigué… il me propose de descendre le long de la maison par une pente,
cela m’arrange plus que des escaliers !!!
On arrive devant une porte de garage aussi grande que 2 voitures pourraient rentrer. Dans
cette porte, il y a une mini porte d’entrée qu’il ouvre avec une clé. Là la lumière s’allume automatiquement dans une espèce de hall d’entrée !!! Je m’aperçois que le reste de la porte de garage
est condamné par l’arrière puisqu’il y a un mur en agglo recouvert de peinture… rouge. Le décor est plutôt du genre médiéval. En s’avançant 2 énormes rideaux en velours rouge cachent le reste.
Quand il l’ouvre et m’invite à rentrer…
Je suis ébahi la pièce doit faire dans les 80 m2, c’est tout le soubassement de la maison !!!
seul 3 énormes piliers en béton recouvert de peinture, mais aussi de chaines diverses « cassent » la pièce. De chaque côté, il y a des meubles que Je ne connais pas. On continue d’avancer et dans
un léger renforcement, il y a un siège, je devrais dire un trône surélevé par 2 marches d’escalier mais surtout aux 2 pieds du siège, 2 anneaux sont fixés avec des chaines et à leurs bouts, un
mousqueton. Dans l’autre axe de ce siège, il y a des poufs et au fond, de nouveau un énorme rideau en velours rouge, le même qu’à l’entrée mais encore plus imposant. Il me propose de s’asseoir
sur un des poufs et lui à côté de moi. Sur la table basse, il y a un plateau dans lequel est posé un ensemble de verres, un seau à glace et d’une bouteille de whisky. Déjà Je me demande où est
passée sa femme et là, les glaçons de fait… c’est encore plus anormal !!! Ma pensée est coupée par ses paroles…
- « Vous pouvez voir que le décor est
spécial, vous connaissez le S.M. ?... Un whisky, c’est du 50 ans d’âge ?
- « Le S.M. c’est le marquis de Sade, les
fouets, on parle de la même chose ? du 50 ans d’âge… Je veux bien je n’en ai jamais gouté !!! d’habitude je mets du coca dedans
- « Pas dans un 50 ans d’âge, surtout
celui-ci… cela serait un sacrilège »
- « Bien alors sans coca, par contre vous
m’expliquez un peu plus pour le S.M et votre femme, elle est ou ? car vous avez parlé de cadeau… »
- « Soyez rassuré, elle est à vous comme
promis pour la nuit, elle est juste derrière ce rideau en attente. Donc vous ne connaissez pas le S.M. si vous dites cela. Est-ce que vous voulez que je vous explique un peu plus en profondeur ?
»
- « Pourquoi pas, car il y a plein de meubles
que Je ne connais et dans ces grandes armoires il y a quoi dedans ? »
- « Dans chaque armoire, il y a du matériel
diffèrent en fonction des jeux que l’on veut faire »
- « D’accord et là on va faire quoi »… du
coup Je recommence à me poser la question si j’ai bien fait de venir…
- « On va commencer par le plus facile donner
une fessée, car ce n’est pas le tout de claquer des fesses, il faut savoir la donner d’une certaine manière que cela chauffe modérément »… et il me montre comment mettre la main en fonction de
l’angle d’attaque sur la fesse !!! comment laisser trainer la main sur la fesse… » il s’arrête…
- « Voyons en pratique, cela sera plus facile
sur la fesse de ma soumise. »
On se lève et on va en direction du rideau qu’il ouvre… le lit est énorme, en bois et les 4
montants du lit sont sculptés en forme de verge gigantesque !!! et elle est là à 4 pattes sur le bord du lit, les bras allongés et la tête enfermée dans une cagoule.
A ce moment-là, le souvenir de quand j’avais 20 ans me revient à l’esprit…
Cette fille un peu plus âgée que moi et que J'avais dragué sur la plage. Celle-ci était en
vacances pour une semaine. Mes yeux bleus faisant toujours de l'effet, il ne m’a fallu que quelques heures pour la séduire. Le sourire, de l’humour et un peu de bagou, ont suffit.
J’ai fait l’amour le soir même avec elle, mais cela ne s’est pas passé comme je le
pensais.
Pour rappel, Je suis né dans une époque bénie... La liberté sexuelle était apparue quelques
années auparavant, la pilule complètement démocratisée et surtout pas de sida et autres saletés. Il fallait tremper son "pinceau" vraiment n'importe où pour chopper une maladie. Les capotes ne
servant qu'à faire des bombes à eau !!!
Après ce petit aparté, mais néanmoins important, le langage de la journée avec et forcément
du "tu" "du prénom", changea le soir.
Une fois arrivé chez elle, elle s’est mise à me vouvoyer, j’ai cru à un jeu, mais dans la
chambre, elle se positionna exactement pareille et m’a demandé de lui claquer les fesses, avant de la prendre. Le reste de ma pensée une fois de plus, est coupée par sa voix
- « Ses fesses ne vous plaisent pas que vous
restez immobile devant ? »
- « Non un souvenir me revenait en mémoire,
donc la fessée comment fait-on ? »
Il se positionna de telle manière à bien me laisser voir. Moi ce qui m’étonnait c’est celle
qui l’appelle sa soumise était là immobile depuis au moins 30 mn et sa chatte luisait, alors qu’elle allait prendre une fessée, peut-être qu’elle était comme celle que j’avais connu, mais là ça
faisait bizarre, il me donnait des explications techniques… à voir s’il allait me donner d’autres infos sur leur fonctionnement.
Ses fesses deviennent de plus en plus rouges, à chaque claque dessus, elle, de son coté émet
un râle, mais plutôtcomme du plaisir, pas vraiment de la douleur et elle frétille après chaque coup. Elle mouille tellement qu’une goutte s’échappe en un long filament. Je trouve cela excitant.
Il se décale et me dit que maintenant il veut voir comment je fais…
Je me surprends à trouver cela agréable en plus de l’excitation, alors qu’avec l’autre, ce
n’était pas le cas du tout. Ses fesses cette fois ci sont couleur rouge vif, mais elle est dans le même état !!!
- « Vous apprenez vite à faire le bon geste,
je vais vous laisser avec elle, je ne serai pas loin. »…
Il se penche sur elle et lui glisse un mot à l’oreille que je n’entends pas et s’en va en
tirant le rideau.
Je n’irai pas plus loin sur ce que J’ai fait sexuellement avec elle, cela n’a pas d’intérêt
ici.
Quand j’eu fini, je suis sorti de la « chambre » et je cherchais son mari. Il était devant
une armoire où les 2 portes étaient grandes ouvertes et Je l’ai rejoint. Quand il m’a vu, il a eu un grand sourire et me dit :
- « Je me demande qui était le cadeau de qui…
»
- « Merci du cadeau car effectivement le
cadeau était double »
- « Alors allons la libérer pour le moment
»
Quand on arriva près d’elle, elle n’avait pas bougé d’un pouce tel que je l’avais laissé,
époustouflant !!! il se pencha sur elle et de nouveau lui dit quelque chose que Je n’ai pas entendu. Il l’aida à se redresser et lui demanda si elle était heureuse, elle acquiesça et
dit
- « Merci Maître de mon cadeau, j’en suis
très heureuse comme tout ce que Vous me faite Maître »
- « Tu es Mon bijou Ma soumise, je ne te veux
qu’heureuse entre Mes mains » en lui enlevant en même temps sa cagoule.
- « Mais je suis plus qu’heureuse de Vous
appartenir Maître »
Cela avait quelque chose de théâtrale, alors qu’en même temps, cela transpirait la
sincérité.
On retourna aux poufs, tous les 3 mais elle s’assied sur ses fesses et ne dit mot, tête
baissée.
Il me demanda si la fessée que j’avais donné m’avait plus. Ensuite il me demanda à quoi
j’avais pensé juste avant, le fameux souvenir. Alors je lui raconte car j’ai l’impression que Je pourrais comprendre ce qu’il s’était passé 13 ans auparavant…
- « En effet après la fessée que Je lui avais
donnée, j’avais pu faire l’amour, mais elle voulait que cela soit violent alors que ce n’est pas mon style. Quand je suis parti pour rentrer chez moi, je lui ai demandé si on se voyait le
lendemain à la plage et là elle me dit oui. En arrivant à la plage, elle me dit bonjour en employant mon prénom et en me tutoyant pour savoir si j’avais bien dormi. Je fus quelque part rassuré en
me disant que la veille ce n’était qu’un jeu. Mais voilà que quand j’aborde le sujet, elle me dit qu’elle ne tient pas du tout à en parler. Des fois, je me dis que cela ne sert à rien de chercher
à comprendre. »
A la fin de cette phrase il me dit :
- « Il y a une suite ? si c’est le cas
finissez je vous donnerai mon avis ensuite. »
- « Oui cela a recommencé. On peut se tutoyer
car de parler de quelque chose d’intime avec un vouvoiement, ça fait vraiment bizarre »
- « Il n’y a pas de problème, tu peux
m’appeler le Mentor et ma soumise Sa soumise. Je pense que l’on va être appelé à se revoir, il te faudra choisir un pseudo, ici on ne s’appelle jamais par son prénom. »
- « D’accord le Mentor. Donc la plage finie,
je lui demande à se revoir et elle me dit que oui et qu’elle pensait bien rester la totalité de la semaine avec moi, bien sur cela n’était qu’une amourette de vacances, vu que parisienne et moi
cannois, sans parler des 6 ans qui nous sépare.
Quand j’arrive sa porte d’entrée est entrouverte, en l’appelant je pousse celle-ci qui donne
dans la cuisine et là un papier sur lequel est inscrit « ne dites rien, il y a un objet sur le lit, servez-vous-en mais fort au fur et à mesure. A ce moment-là, je me dis qu’elle n’est vraiment
pas nette cette fille. Je rentre dans la chambre. Une fois de plus je la trouve à 4 pattes, les bras étendus vers l’avant et un foulard sur les yeux, juste à coté de ses fesses, un martinet !!!
je commence par la caresser mais elle n’est pas réceptive jusqu’au moment ayant saisi le martinet, je laisse trainer les lanières sur son dos. Elle frissonne de partout. Du coup je me décide à
lui donner du martinet. J’entends un feulement à chaque coup, je lui donne involontairement dans un tempo et je remarque qu’elle avance ses fesses à chaque coup en l’anticipant. D’un coup elle
hurle en criant
- « Plus fort, je vous en prie »… je suis
tellement surpris que je m’arrête net. Ses fesses sont de couleur framboise, ça me perturbe et je me dis qu’elle doit avoir super mal.
- « S’il vous plait continuez je vous en
supplie »… J’ai continué encore un peu puis j’ai jeté le martinet à côté. Je me suis allongé de telle manière a être à la hauteur de sa tête et je lui ai dit
- « on ne peut pas faire que cela ce soir ?
»… Je n’ai pas eu de réponse de suite, elle s’est redressée, enlevé le foulard et m’a embrassé, une fois de plus, on a fait l’amour. Nouveau rendez-vous à la plage le lendemain et comme les
autres fois, silence sur la soirée précédente. Ce troisième soir, on a diné ensemble. Elle me demanda de la laisser partir en premier car elle voulait se faire belle et donc que je ne vienne que
dans trente minutes. Je lui ai dit ok. Une fois de plus, la porte d’entrée était entrouverte. Je me suis dit qu’elle n’était pas prudente. Une fois de plus le papier sur la table de la
cuisine.
- « Vous allez trouver sur la table de nuit 2
boites. Servez vous en pour mettre dans chaque sein la totalité de la boite »… Je me demandai ce que cela pouvait être. Je rentre dans la chambre et là, je la trouve avec le foulard sur les yeux,
les 4 membres attachés en nœud coulant au lit avec des torchons et serviettes de table !!! je regarde la table de nuit… 2 boites d’aiguilles !!! là pour moi cela dépassait les bornes là, je lui
ai détaché un poignet et je lui ai dit qu’il faut qu’elle se fasse soigner !!! et je suis parti. Je ne l’ai jamais revu.
- « Cela aurait pu être une belle histoire si
elle s’était exprimée et donc si elle m'avait donné les explications. Grace à cette histoire tu sais que si tu continu le S.M. il faudra toujours communiquer avec ta soumise car c’est toi le
Maître à ce moment-là et tu dois la guider, l’aider si elle a du mal à s’exprimer ses sentiments, l’écouter, ce n’est pas facile d’être le Maître d’une soumise. Dans tous les cas, tu n’avais pas
la maturité vu ta réaction et son peu de communication, pour assurer le rôle de Maître avec elle. De son côté pour être à la limite de nier les faits puisqu’elle ne voulait pas en parler, c’est
qu’elle-même refusait de voir qui elle était réellement. »
- « Je comprends, mais aujourd’hui avec ta
soumise, cela M’a plu, même excité et Je ne parle pas que de la partie sexe, mais ici tout est spécial, le décor aussi, bref je veux bien apprendre si tu es d’accord ? »
- « Je vais te montrer ce qu’il y a dans les
différentes armoires et te montrerai comment s’en servir. Ici je fais appliquer des règles S.M. que je vais t’énoncer, car j’organise des soirées. Cependant tu ne viendras jamais à l’improviste
ici. Tu me donne ton téléphone et 1 semaine à l’avance, je te préviendrai pour la date de la soirée, l’avant-veille je t’appellerai pour que tu Me confirmes ta venue.
On se lève et il demande à sa soumise de faire un encas pour nous deux et elle aussi si elle
désire, mais doit servir dans la tenue qu’elle sait…
Ce soir je vais apprendre ce qu’est un martinet, un paddle, une canne ou bien encore une
badine, c’est ce que contient entre autres les 2 armoires qu’il me montre. Il y a aussi des colliers, des barres d’extensions et pleins d’autres trucs encore. Dans la troisième armoire, des gods
de toutes sortes, des plugs etc.
Quand elle revient, elle est en tenue de soubrette avec un très grand plateau qui est attaché
dans le dos, mais aussi pour les attaches, à la fois à son collier et les 2 attaches du milieu à ses tétons !!! je me dis que cela doit peser super lourd vu tout ce qu’il y a dessus…
La soirée continue comme cela, mais Je ne recoucherai pas avec Sa soumise, par contre elle
aura plusieurs séances dans la nuit faite en commun avec lui.
J’ai pu assister à plusieurs séances et J’y ai même trouver Ma première soumise.
Malheureusement, l’année suivante, Sa soumise M’a téléphoné pour m’annoncer une très mauvaise nouvelle, le Mentor était décédé d’une crise cardiaque et que bien sur tout s’arrêtait, elle ne
voulait pas continuer et avait mis la maison en vente et partirait de la région. Je n’entendrais jamais plus parler d’elle.
Là commençait une période de désert car les gens connus chez lui, comme c’est lui qui
organisait tout, personne n’avait les téléphones des uns et des autres. Il ne faut pas oublier qu’à cette époque, le S.M. comme on disait, pas encore le B.D.S.M. était confidentiel. C’est
principalement le sexshop qui détenait les revues sur ce sujet. Encore que quand on demandait une revue S.M. où il y avait des photos et surtout des petites annonces, le vendeur regardait à
droite et à gauche pour voir si personne ne le regardait. Il plongeait sous le comptoir et mettait la revue dans un papier kraft bien épais !!! il existait en France juste 2 sites sur le
minitel, mais les soumises étaient… des animateurs !!! Il faudra attendre la fin des années 90 pour qu’internet change la donne, avec ses bons cotés de démocratisation et son revers du tout
et n’importe quoi.
Dans Mon cas, Il aura fallu 2 expériences pour arriver au B.D.S.M. J’aurais pu dire presque
trois, puisque j’ai commencé gamin. En effet, j'adorais attacher Mes cousines à un arbre en jouant les indiens kidnappant la femme blanche, mais jamais le côté cowboy, ceux-là ils m’énervaient
car dans les films, ils gagnaient toujours, Moi, Je rétablissais le gain de la victoire aux indiens !!! mais était-ce les prémices de ce que Je deviendrai ou simplement un jeu
d’enfant ?
Voilà comment Je suis venu au B.D.S.M.
